Steven Seagal, acteur incontournable des films d'action à explosions, voit les charges de son dossier s'alourdir encore un peu plus.
Jenny McCarhy, qui vient tout juste de se séparer de Jim Carrey, a elle aussi été sexuellement harcelée par l’homme au catogan.
Steven Seagal, acteur incontournable des films d’action à explosions, voit les charges de son dossier s’alourdir encore un peu plus.
Nous vous annoncions récemment que Kayden Nguyen, un mannequin de 23 ans, avait révélé avoir subi des sévices sexuels et des actes de violence de la part de l’acteur et même été violée par lui avant de réussir à s’enfuir. Pire, la femme avait expliqué avoir découvert deux jeunes femmes russes devenues de véritables esclaves sexuelles à la merci du moindre désir de Seagal, qui porterait toujours une arme sur lui.
C’était déjà pas franchement reluisant comme publicité. Voilà qu’un autre témoignage vient de porter le coup de grâce à l’acteur. Jenny McCarthy, ex playmate de Playboy et surtout compagne de Jim Carrey pendant cinq ans, a elle aussi subi les assauts de Seagal la brute. Dans une interview datant de 1998 qui vient de refaire surface, Jenny confiait en effet avoir été contrainte de se déshabiller devant l'acteur au moment du casting du film Piège à Grande Vitesse. « Je suis arrivée dans son bureau et il y avait un immense canapé. Il m'a demandé de m'asseoir et m'a lancé : "Alors, tu es la playmate de l'année ? Enlève ta robe !" Je me suis mise à pleurer et je lui ai crié qu'il était un trou du c**, qu'il n'avait qu'à acheter ma vidéo et je suis partie. » expliquait-elle alors.
Et ce n’est pas tout. La même année, neuf ( !) starlettes avaient accusé Seagal de leur avoir fait des propositions indécentes. Et en 2001, une certaine Patricia Nichols l'avait même poursuivi en justice pour les mêmes raisons sans qu’aucune suite ne soit donnée à l’affaire.
Les violences et agressions de Steven Seagal ne datent pas d’hier, il était temps que la justice s’y intéresse de plus près. En espérant que l’enquête révèlera cette fois définitivement au grand jour le vrai visage de celui qui se prend, c’est un comble, pour Tulku, la réincarnation d’un grand lama tibétain.
Source : voici
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